Les bonnes pratiques en sobriété numérique
Vers un numérique sobre et responsable dans nos universités
Le numérique comme levier de durabilité
Le numérique occupe une place centrale dans nos campus, nos salles de cours et nos laboratoires. Il transforme nos façons d’apprendre, de collaborer et d’innover. Mais il repose aussi sur des infrastructures matérielles et énergivores qui génèrent une part importante des émissions de gaz à effet de serre et accentuent la consommation mondiale des ressources.
Réduire notre empreinte écologique en limitant l’extraction des ressources et la consommation énergétique
Renforcer la qualité et l’inclusion de nos services et nos enseignements
Aligner nos pratiques numériques avec les grands enjeux sociétaux et environnementaux
Les bonnes pratiques
Évolutives et adaptables, 28 bonnes pratiques vont guider nos actions.
Elles reposent sur trois approches complémentaires :
Positive : mettre en valeur les bénéfices et les solutions de la sobriété numérique
Systémique : considérer le cycle de vie du numérique dans son ensemble et ses effets globaux
Concrète : outiller les communautés pour agir, s’interroger, expérimenter leur réalité et ainsi reprendre le pouvoir sur leur environnement numérique.
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Optimiser l’usage des outils numériques
Prolonger la durée de vie des équipements
Privilégier des solutions technologiques plus durables
Sensibiliser les communautés
Une charte a été élaborée par le Secrétariat général. Les unités de l'Université de Montréal sont invitées à s'en inspirer afin d'intégrer ces pratiques de sobriété numérique en les adaptant à leur réalité.
Charte de la sobriété numérique - Secrétariat général - Université de Montréal
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