Apiculture
UdeMiel - Du miel produits sur le campus!
Produit dans un rayon de 1 km autour du campus de la montagne, la particularité du miel de l'UdeM (UdeMiel) est due à sa grande diversité de pollens. En effet, "nos" abeilles ont le loisir de butiner une impressionnante diversité de fleurs aux alentours du campus.
Composé à plus de 45 % de pollen de vinaigrier, le miel de l'UdeM comporte également une bonne dose de pollen de trèfle et de mélilot, ainsi qu'une légère quantité de pollen de tilleul et d'arbres fruitiers.
À propos de nos ruches
2019 – 400kg de miel
Belle récolte de 400kg de miel extrait durant un weekend de juillet.
Les ruches du campus de la montagne sont déménagées au campus MIL en fin de saison.
2018 - L’UdeM a maintenant 6 ruches
Quatre appartenaient toujours à l’Unité du développement durable et 2 aux services alimentaires (SA) à l’été 2018. Puis, coup de théâtre, les services alimentaires ont récupéré les 6 ruches pour l’été 2019. Il faut dire que ce service est devenu de taille. Les SA prêtent ses cuisines à la coopérative Miel Montréal depuis l’été 2018 afin que l’ensemble des contrats apicoles puissent s’y extraire.
2015 – 500 pots de miel
500 pots de miel pour le bonheur de tous!
Ces résultats sont d'autant plus impressionnants lorsqu'on sait qu'une abeille produit seulement 1/8 de cuillère à thé de miel durant toute sa (courte) vie...
Malgré un hiver très froid et qui s’éternisait, nos abeilles ont toutes survécu à cette dure période (100% de survie!). Cependant, nos petites amies n’étaient pas au bout de leur peine.
Après avoir été déplacées du toit au sol lors de la dernière saison apicole, l’aménagement du chemin de ceinture, sentier du mont Royal passant derrière le campus de la montagne, obligeait à nouveau leur relocalisation.
Ainsi, 4 ruches se retrouvent désormais au sol, tout juste à côté des résidences. La 5e a été ajoutée au nouveau rucher de l’UdeM…
Installation de 2 ruches au Campus MIL- L’endroit s’avère intéressant puisque les environs ne comportent aucune ruche, réduisant ainsi la compétition entre elles. Les abeilles ont alors un terrain de jeu de 239 000m2. À nous maintenant de rendre ce site hospitalier pour nos abeilles à miel ainsi qu’à l’ensemble des pollinisateurs urbains (papillons, guêpes, mouches, etc.).
2014 – Seules 2 ruches ont survécu
Tout comme l'an dernier, l'hiver rigoureux a décimé nos ruches malgré les multiples précautions prises.
Seules 2 ruches sur 5 ont survécu.
Des travaux de réfection du toit de la DI, lieu de prédilection pour l'apiculture, nous ont obligé à déplacer le rucher. Une partie s'est retrouvée contre la clôture du cimetière (intersection chemin de la rampe et chemin de la polytechnique). Une autre partie a été installée sur le toit du CEPSUM.
2013 – 6 ruches sur le toit de l’UdeM
L’année a débuté difficilement alors qu’à nos premières observations nous on fait constater la mort de 3 ruches, puis une autre est morte au début mai, portant le total à 4 ruches. L’été reprenait alors avec 2 ruches vivantes. Lors de la première visite intégrale du 28 mai 2013, ces dernières étaient déjà très fortes et laissaient présager un été actif.
Quatre autres ruches sont arrivées le 10 juin en provenance d’un producteur biologique de Val-David. Bien que nous avions un préjugé favorable quant à la régie de ces ruches, ces dernières étaient constituées d’abeilles russes. Ayant une forte propension à l’essaimage, nous nous devions de remplacer ces reines par des reines provenant de Rustique Apiculture, de génétique italienne.
À l’heure actuelle, de ces 4 ruches, 2 d’entre elles ont subi le remplacement de reine (une par introduction de cagette et l’autre par fusion de ruche à partir d’un essaim récupéré). La fusion semble beaucoup mieux fonctionner. Nous privilégierons dorénavant cette technique.
Le mardi 18 juin, nous avons pu mettre en pratique la procédure d’intervention en cas d’essaimage. La ruche que nous appelons Verte & Jaune serait la déserteuse. Cette intervention a été couronnée de succès. En effet, 45 minutes après l’incident, la récupération des abeilles débutait et une heure plus tard, les abeilles étaient majoritairement dans la hausse et les activités au quai d’embarquement pouvaient se poursuivre.
En date du 23 juillet 2013, 6 ruches se trouvent sur le toit de l’UdeM, dont une colonie avec une génétique hybride russo-italienne produite par les Frères Miel, M. Vanier.
2012 – Une année difficile
Les varroas sont venus à bout de deux des 6 ruches qui hivernaient (dont une ruche à 2 reines). Une des ruches est tout simplement morte de faim en hiver alors que le nourrissage avait été problématique pour celle-ci à l’automne 2012 (les abeilles ne stockaient pas l’eau sucrée, sans explication pour le moment).
Finalement, des 3 ruches qui étaient parvenues à passer l’hiver, l’une d’entre elle (une des deux ruches à deux reines) n’a pas joué de chance et a perdu son couvercle lors de bourrasque printanière entre la fin avril et le début du mois de mai.
Ce vent puissant l’a exposé aux pluies et au froid durant un temps maximum de trois jours, ce qui fut suffisant pour entrainer sa mort.
2011 – Naissance du projet
Des refuges fabriqués ici pour les abeilles solitaires
Dans le but de recueillir des données sur l’identité des espèces d’abeilles et d’insectes nicheurs présents en milieux urbains ainsi que sur leur santé générale, l’équipe de recherche du laboratoire d’entomologie de l’Université de Montréal participe à un projet pilote lancé à l’initiative de Silk Canada et de l’entreprise d’affichage Pattison.